Selon Louis XIV, « C’est toujours l’impatience de gagner qui fait perdre », mais pour l’Argentin Hector Cuper, les années se succèdent et se ressemblent sous le signe de la malchance. L’actuel sélectionneur de l’Ouzbékistan n’en reste pas moins un brillant entraîneur.
« Bon, je perds encore une finale… Je ne vais pas dire que je suis habitué, mais bon… »
Hector Cuper après la finale perdue avec l’Egypte face au Cameroun.
En point d’orgue, son passage remarqué à Valence. Sous les ordres du tacticien argentin, le club espagnol accéda deux fois à la finale de la Ligue des Champions. Dernièrement, il permit à l’Egypte de se qualifier pour la Coupe du monde 2018, 28 ans après sa dernière participation. Mais après trois revers en phase de poules, Cuper est remercié. L’exigence de la performance.